Eco(dé)mystificateur

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mardi, 29 octobre 2013

Repentir d’un anti-sarkozyste primaire

J’ai été un anti-sarkozyste primaire, je l’ai toujours assumé, je ne m’en suis jamais caché. J’ai tellement détesté notre ancien président que, après avoir longuement hésité et malgré toute l’aversion que j’avais pour Hollande et ce qu’il représentait,  j’ai voté pour lui au second  tour de la Présidentielle. Pour être sûr que, si pour notre plus grand malheur, nous ne nous  réussissions pas à nous débarrasser de Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, je ne pourrais être tenu pour responsable. Et aujourd’hui, je m’en mords les doigts.

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samedi, 26 octobre 2013

Fonds propres

J’ai toujours eu beaucoup de mal avec la notion de fonds (ou capitaux) propres. Je ne sais pas pourquoi. Il était donc naturel pour moi d’inclure une définition dans mon dictionnaire.   

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mardi, 24 septembre 2013

Choses lues… (8)

Deux ou trois choses lues sur Internet où l’on explique pourquoi il faut d’urgence mettre fin à l’indépendance des Banques Centrales et supprimer l’argent liquide.

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lundi, 16 septembre 2013

Création monétaire : le début de la fin d’un tabou ?

Dans l’océan de mauvaises nouvelles qui nous assaille chaque jour, toute information de nature à entretenir la flamme de l’espoir est bonne à prendre. Ainsi, c’est sur le site d’Alain Grandjean que nous apprenons que Pierre Moscovici a été viré le Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) considère officiellement que « la création monétaire peut (…) être mobilisée pour financer les investissements de long terme de la transition écologique ».

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samedi, 3 août 2013

Des choses qui m’énervent

Ça sert aussi à ça, un blog, à se défouler. J’ai donc fait une petite liste non exhaustive de trucs vus sur Internet qui m’ont bien pris la tête récemment.

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mardi, 23 juillet 2013

Splendeur du déficit budgétaire et misère de la rigueur

Ne vous arrêtez pas à son titre totalement inadapté – "Splendeurs et misères du libéralisme" – car c’est bien le seul défaut de l’ouvrage de l’économiste Michel Santi, par ailleurs tout à fait intéressant, notamment parce qu’écrit par un praticien de la finance qui nous explique comment, selon lui, l’économie devrait fonctionner. Dès les premières pages, le cadre est posé : "(…) les déficits publics ne doivent rencontrer aucun obstacle ni aucune limite, si ce n’est l’accomplissement de la raison même d’exister d’un Etat, à savoir le rétablissement du plein emploi et la stabilité des prix" et plus loin : "sans déficit public, pas de croissance".
Ces propos, que ne renierait pas le premier néochartaliste venu, constituent le postulat de base martelé tout au long du livre, à partir duquel Michel Santi dézingue les politiques d’austérité actuellement menées en Europe au nom d’une rigueur budgétaire que rien ne justifie, si ce n’est " les carences de nos modèles économiques qui n’intègrent pas la dette et qui, a fortiori, passent totalement sous silence ses effets." Dans une sorte de cri du cœur, il interroge : "Quand se rendra-t-on enfin compte que seule l’augmentation du chômage dégrade les déficits publics ?"

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lundi, 15 juillet 2013

Le grand désarroi des professeurs d’économie

Comme expliqué dans le billet précédent, je continue de fréquenter le forum du blog d’éconoclaste. C’est une source inépuisable, bien que partiellement tarie, d’informations de nature anthropologique sur la communauté des économistes. Après l’étudiant en master qui se posait des questions métaphysiques sur la stationnarité du  PIB coréen, voici maintenant la professeur d’économie qui s’interroge avec angoisse de savoir si ce qu’elle enseignait sur la création monétaire il y a 20 ans est encore d’actualité aujourd’hui. Qui aura le courage de lui dire que c’était déjà faux il y a 20 ans, au risque de la désespérer définitivement ?

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jeudi, 11 juillet 2013

Les banques centrales ont-elles pensé à arroser les populations de liquidités?

C’est la question que pose sur son blog l’économiste Michel Santi dans un texte repris sur le site de La Tribune et dont je vous recommande la lecture, en commençant par l’extrait ci-après. Il est certainement difficile de croire que ces propos – que ne renieraient pas les promoteurs du revenu universel – puissent être tenus par quelqu’un qui a été cambiste et trader à Genève, avant d’être patron d’une salle de marché dans une banque française installée en Suisse. Et pourtant, c’est la réalité et celle-ci, c’est bien connu, dépasse parfois la fiction.
Je n’arrive pas à me souvenir des circonstances exactes, mais je sais que ce n’est pas la première fois que je croise la route du dénommé Santi. Je crois que c’est un monsieur qui vaut la peine que l’on s’intéresse à ce qu’il dit. A suivre, donc.

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samedi, 13 avril 2013

Les Cafés de la statistique et la régulation financière

Cela faisait quelque temps maintenant que je n’avais plus assisté à une conférence traitant d’économie. C’est pour remédier à cette situation que j’ai participé à la séance du 9 avril des Cafés de la statistique sur le thème de la régulation financière avec comme invitée, Laurence Scialom. Disons le tout net, j’ai été déçu par l’exposé de la Professeure à l’Université Paris X. Son désir de bien faire et de nous expliquer toute la finance en vingt petites minutes l’amena à produire un discours plutôt confus noyé dans un jargon financier bien peu propice à l’éducation des masses ignares. Heureusement, la longue phase d’échanges avec la salle qui s’ensuivit lui permis de se rattraper brillamment. Je vous propose ci-après de façon tout à fait arbitraire et non exhaustive les points qui ont retenu mon attention.  

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dimanche, 17 mars 2013

Le plan de sauvetage de Chypre mérite le prix Nobel par B.Vallageas

Je reproduits ici le commentaire que B.Vallageas a posté sur ce blog :

«  Le plan de sauvetage de Chypre est une application du plan de sauvetage des banques. En effet la taxe perçue sur les comptes bancaires est convertie en actions des banques, i.e. en capital. Ainsi les banques seront recapitalisées et donc sauvées dans l'esprit de Bâle. Et les déposants ne seront pas volés. Simplement ils deviennent actionnaires forcés des banques. C'est la conversion des dépôts en capital dans toute sa splendeur. Le rêve de tout défenseur des accords de Bâle.

J'ajoute qu'en plus la diminution de la quantité de monnaie va être à peu près la même pour tout le monde, donc les encaisses monétaires vont baisser proportionnellement ainsi que les prix absolus, les prix relatifs restant inchangés. Rien donc ne sera changé, sauf que les banques vont être recapitalisées, donc plus sures. C'est un plan absolument génial qui mérite le prix Nobel. »

Le débat est ouvert !

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