Eco(dé)mystificateur

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jeudi, 3 avril 2014

Lamy qui nous veut du mal

Avoir une sale gueule ne constitue pas, en démocratie, une raison pour ne pas l’ouvrir. C’est ainsi que Pascal Lamy, celui-là même que le prix Nobel d’économie Maurice Allais, recommandait dès 2009 de "délocaliser", sans cependant préciser où – nous suggérons pour notre part, la lune où le désert du Sahara – l’accusant sans détours d’être " un des facteurs majeurs de chômage", vient de se faire une nouvelle fois remarquer. Après avoir récemment prédit des invasions de sauterelles en cas de sortie de l’euro, il recommande maintenant de rétablir l’esclavage des boulots payés moins que le Smic pour ces feignasses de chômeurs. Selon certains journalistes, Pascal Lamy aurait carrément parlé de travailler sans être payé. Nous pensons pour notre part qu’il y a un malentendu et qu’il n’a pas pu aller jusque-là : tout porte à croire en effet qu’il tient encore à la vie même si il aime visiblement la mettre en danger. A ce sujet, nous attirons l’attention de ceux de nos lecteurs que les propos de Lamy pourraient pousser au désespoir et qui ont des envies de meurtre envisagent des mesures de rétorsion extrêmes que, dans un état de droit, cela n’est possible, qu’à condition de ne pas se faire prendre pas possible. Il faudra, je le crains, nous contenter d'attendre que celui que Nicolas Dupont-Aignan a surnommé le "docteur Folamour de la mondialisation" soit un jour amené sur "le banc des accusés pour répondre de ses crimes économiques et sociaux." avant d’être fusillé.

lundi, 11 novembre 2013

Comment voulez-vous que ceux qui sont élus par l’argent des banques leur crachent à la figure ensuite ?

C’est la question posée par Hervé Falciani – l’homme qui a dénoncé les pratiques frauduleuses d’HSBC et qui vit maintenant sous la protection permanente du GIGN –, question qui résume assez bien la situation, et que Nicolas Dupont-Aignan rapporte dans son dernier livre « Les voleurs de la République ». La France est pillée à hauteur de 60 milliards d’euros par an avec, parfois la participation active, et toujours la complicité passive de ses dirigeants. Comme une vulgaire république bananière, elle est sous la coupe réglée d’une oligarchie qui profite des structures existantes pour détourner à son profit la fiscalité de notre pays, fondement de la vraie démocratie. Au-delà des nombreuses informations fournies dans le livre, ce que nous devons retenir c’est qu’un député, un élu de la nation nous interpelle pour nous sortir de notre résignation. Les solutions existent, il faut le courage et la volonté de les mettre en œuvre.

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vendredi, 20 septembre 2013

Je suis peut-être un bijoutier mais certainement pas un barbare

Dans un article récent publié sur son blog intitulé «Nous sommes tous des bijoutiers »,  Nicolas Dupont Aignan prend fait et cause pour le bijoutier niçois qui a récemment tué son voleur. Le Président de Debout la République semble, au nom d’une situation générale que l’on peut légitimement considérer comme désastreuse, justifier que le "peuple soit tenté de se faire justice soi-même". J’ai beau retourner ça dans tous les sens, j’en arrive toujours à la même conclusion : ce n’est pas acceptable.

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mardi, 27 août 2013

Syrie : La France manipulée

Ces prochaines heures vont être décisives pour la France et le monde. Les récents mouvements de troupes à Chypre font penser que ce n'est qu'une question d'heures avant que les premières bombes occidentales tombent sur la Syrie.

Soit la France fait entendre sa voix haute et forte maintenant, soit elle finira aux oubliettes de l'Histoire.

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lundi, 8 juillet 2013

Ce que la "gauche critique" ne nous prendra pas

Cinq ans, ça fait plus de cinq ans que j’attendais ce moment avec impatience, celui où je me trouverai enfin en désaccord avec Fréderic Lordon, sans savoir qu’en définitive, je le regretterai amèrement car le dit désaccord est violent et donc douloureux pour moi, compte tenu de l’estime que j’ai pour celui grâce à qui j’ai compris tant de choses en économie, mais pas seulement. Dans sa dernière production dramatiquement intitulée « Ce que l’extrême droite ne nous prendra pas », l’auteur de « Capitalisme, désir et servitude » fait le distinguo entre souverainiste de droite et souverainiste de gauche. Selon lui,  contrairement à celui de droite,  le souverainiste de gauche est un démocrate. Me revendiquant souverainiste, n’étant pas fondamentalement de gauche – synonyme pour moi de trahison perpétuelle –,  étiqueté "de droite" de par mon appartenance au parti de Nicolas Dupont-Aignan, me voilà donc de fait, dénié le qualificatif de démocrate. Et bien non, Fredo, je ne suis pas d’accord et je vais te dire pourquoi, en espérant que tu pardonneras ma familiarité mais je suis en colère.

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mardi, 25 juin 2013

« L’opinion », journal de merde ?

C’est la question que je me suis posée en lisant l’éditorial de Nicolas Beytout accusant Arnaud Montebourg d’utiliser les arguments de l’extrême-droite pour critiquer Bruxelles. « L’Opinion » (quel titre à la con) se veut un média de nouvelle génération avec une ligne éditoriale claire, "libérale, pro-business, européenne". Et intelligente, la ligne, c’était en option ? Non parce que ce n’était vraiment pas la peine de se donner tant de mal pour, au final, obtenir ce genre de prose qui ne fait que resservir les arguments éculés de ceux qui n’en ont pas. Si Nicolas Beytout ne se revendiquait pas lui-même à droite, on aurait pu croire qu’il était de gauche tant son discours illustre parfaitement l’attitude décrite par Guillaume Bernard dans sa critique du terrorisme intellectuel de la gauche.

Mais la réponse à ma question initiale, je l’ai trouvée en regardant la vidéo du dénommé Dominique de Montvalon. Ce dernier s’en prend à Nicolas Dupont Aignan et je n’ai toujours pas compris pourquoi ! Il lui reproche quelque chose tout en confirmant que, je cite, « Nicolas Dupont Aignan ne l’a pas dit mas c’est au fond ce à quoi il pense ». C’est donc ça, le nouveau journalisme à la mode "libérale, pro-business et européenne" : on ne s’intéresse plus ni aux faits, ni même aux opinions mais  à ce que les gens pensent. J’imagine qu’ils ont dû embaucher une  tripotée de télépathes professionnels !!!

Bon allez, je vire « L’Opinion » de mon Netvibes et je retourne lire Atlantico.

dimanche, 9 septembre 2012

"On ne dialogue pas avec le Front national, on le combat" : quand le piège se referme.

Jacques Nikonoff, porte-parole du Mouvement politique d’éducation populaire (M’PEP), a annulé au tout dernier moment sa participation à la table ronde intitulée « Démonter l’euro pour sortir de la crise » à laquelle il avait été invité par Nicolas Dupont Aignan, dans le cadre des universités d’été de Debout la République. Il justifie son attitude pour le moins cavalière par le fait que le député-maire de Yerres aurait tenu sur Radio Courtoisie  des propos incompatibles avec l’idée très précise que lui-même se fait du dialogue Républicain. Pour Jacques Nikonoff,  on ne dialogue pas avec le Front national, on le combat !  Voila une position tranchée qui doit remplir d’aise tous les caciques de l’UMP comme du PS.

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samedi, 1 septembre 2012

Les tourments d’Alain Beitone

C’est une véritable tragédie à laquelle il m’est donné d’assister en direct. Un drame en trois actes qui voit un homme s’enfoncer inexorablement  dans les sables mouvants des tourments provoqués par un désir de reconnaissance l’ayant poussé à tenir des propos inqualifiables qu’il ne peut justifier malgré ses pathétiques tentatives. La dernière en date se présentant sous la forme d’un nouveau courriel du professeur, tentant désespérément de se disculper.

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mercredi, 20 juin 2012

Se rassembler pour agir

Urnes et  isoloirs ont été remisés, les rues débarrassées des panneaux d’affichage et la France d’Eric  Besson de Nadine Morano, de Frédéric Lefebvre mais hélas pas de Jean-Michel Apathie. La parenthèse pseudo démocratique est refermée, pour cinq ans. Contrairement à ce qu’a prétendu le slogan, rien n’a changé : l’UMPS est toujours au pouvoir, les encartés PS ayant simplement remplacé les encartés UMP au conseil des ministres. Tout continue comme avant, scandales vaudevillesques compris, au point que Valérie nous ferait presque regretter Carla. Et la France dans tout cela ?

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lundi, 7 mai 2012

Surtout ne dites jamais aux reporters du Petit Journal que ce ne sont pas des journalistes

Je me suis fait de nouveaux amis. C’était lors du meeting de campagne de Nicolas-Dupont Aignan – alias NDA – du 17 avril dernier au Bataclan. Avisant une joyeuse bande de drilles composée d’une digne représentante de la gente féminine – reconnaissable à l’appareil de prises de vues qu’elle portait sur l’épaule – et de deux individus de sexe probablement masculin – reconnaissable pour l’un d’entre eux au fait qu’il tenait une longue perche à la main et pour l’autre qu’il jouait au chef – je  réalisais prestement qu’à moins  qu’il n’aient volé la caméra estampillée Petit Journal, la bande en question officiait pour le programme de divertissement de Canal+. Alors qu’ils approchaient subrepticement (si, si) de l’estrade dans le but évident de commettre un nouveau forfait, je m’enquérais à haute et intelligible voix auprès de l’un des responsables de la sécurité – reconnaissable au fait qu’il portait une oreillette – de savoir pourquoi ces comiques avaient été autorisés à assister à une réunion de gens, de droite pour certains , mais bien dans leur immense majorité puisqu’ils allaient voter pour NDA, alias Nicolas Dupont Aignan.

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