C’est le titre de l’article paru sur le site de Marianne annonçant la choquante nouvelle de la disparition de Philippe Cohen. Je voudrais ici à mon tour rendre hommage à celui que j’ai eu furtivement l’occasion de croiser et qui restera dans mon esprit comme, ainsi que le dit un commentateur sur le site, « une figure exceptionnelle (…) de professionnalisme journalistique ».  Je me contenterai de citer ce que j’écrivais en mai 2011 :

« Cette exception, c’est Philippe Cohen. Il fut en fait le premier à me contacter, suite à ce  papier où je relatais les propos de P.Artus. Plus tard, j’ai eu l’occasion d’échanger avec lui par e-mail sur un tout autre sujet. Il a pris la peine de répondre, me proposant même de rédiger un texte. (…)  J’ai gardé de ces brefs échanges l’impression de quelqu’un d’ouvert et disposé à discuter avec un modeste blogueur. Il se trouve, ce qui ne gâte rien, que j’apprécie les articles que je peux lire de lui sur Marianne 2. »