Pour combattre les idées reçues sur ces fainéants de chômeurs :

Selon une étude de la Caisse nationale des allocations familiales, 29% des allocataires de minima sociaux ne rechercheraient certes pas de travail. Mais c’est surtout à cause de problèmes de santé, de garde d’enfants ou parce qu’ils sont très âgés. Seuls 0,6 % ne recherchent pas d’emplois parce que cela ne serait pas rentable financièrement pour eux.

Comment limiter la hausse des loyers : certainement pas en faisant confiance à la gauche !

(…) une solution souhaitée notamment par les associations pour le logement consisterait à soumettre aussi les nouveaux baux à l’indice de référence des loyers : un nouveau locataire devrait donc s’acquitter d’un loyer équivalent à celui qu’aurait payé son prédécesseur. Une telle mesure n’aurait rien d’exceptionnel : un tel encadrement était en vigueur en France entre 1989 et 1997, avant d’être aboli… par la gauche.

Des relations entre croissance et développement

La macroéconomie ne permet pas de comprendre les logiques à l’œuvre sur le plan local. Ainsi, les territoires les plus compétitifs selon les critères macroéconomiques ne sont pas ceux qui se portent le mieux en termes de développement. Ils concentrent les moyens productifs les plus puissants mais ils ne voient pas les conditions d’existence de leur population s’améliorer au même rythme, puisque croissance et développement ne sont pas automatiquement synonymes. C’est un paradoxe : la croissance nationale est un facteur de développement national, mais la croissance locale n’est pas forcément synonyme de développement local.   (Laurent Davezies)

Des inégalités

Ainsi, selon ces auteurs [X.Gabaix / A.Landier], la différence de performance entre le dirigeant de la première des plus grandes entreprises et celui de la 250e serait de…0,016 % : un écart microscopique. Mais, dans le même temps, leur différence de rémunération est de 500%.