Car figurez-vous que ce dernier est mentionné dans  « Au cœur des services spéciaux – La menace islamiste : fausse piste et vrais dangers ». Non pas comme le héros révolutionnaire qu’il prétend être mais comme l’imposteur qu’il est en réalité, lui qui a revendiqué une amitié de vingt ans avec Massoud – chef militaire afghan qui a gagné ses lettres de noblesse en résistant à l’occupation soviétique – alors qu’il ne l’a rencontré que très brièvement :
« BHL a évoqué une première rencontre avec Massoud en 1981. Christophe de Ponfilly, journaliste de terrain, (…) a dénoncé cette affirmation qu’il a qualifié d’imposture. En fait, BHL n’a rencontré Massoud pour la première fois que quelques heures en 1998 au cours d’un rendez-vous organisé par Ponfilly. Ce qui n’a pas empêché BHL en 2002 de déposer sur la tombe de Massoud une stèle immortalisant cette « amitié de vingt ans »
Si cela ne suffisait pas à révéler la vraie nature de B.H. Lévy, le billet publié par Elie Arié sur son blog, devrait faire l’affaire. Intitulé « BHL, ou comment se rendre ridicule pour la postérité », il démontre, preuves à l’appui, comment « faute de combattre, BHL est devenu spécialiste des photos truquées censées prouver ses valeureux combats ».  De la Libye à Sarajevo, en passant par l’Afghanistan, « BHL, c’est le type qui va sur tous les lieux de combat, se fait photographier, puis s’en retourne aussitôt : il ne faudrait pas risquer d’être victime d’une balle perdue... »

Enfin, je ne peux terminer ce texte sans citer cette information publiée par Le Gorafi à propos de notre nouveau Malraux, à savoir son combat contre le nuage de pollution pour lequel il a récemment proposé sa médiation !