Quand Eric Besson se comporte de façon déplaisante et déplacée, par manque d’intelligence, de savoir-vivre et de scrupules.
Par RST le dimanche, 27 mai 2012, 19:35 - Les connards - Lien permanent
Suite à l’avalanche de commentaires me reprochant ma vulgarité, j’ai
décidé de ne plus traiter personne, sauf Eric Besson, de connard. Subséquemment
, cet article va être un peu plus long puisque, ayant pris cette bonne résolution et ayant l’intention de
l’honorer, je vais être obligé, pour parler de ce c…… d’Eric Besson sans
utiliser le mot c……, de faire remarquer que ce type s’est, une fois de plus, comporté
comme un c…… de façon déplaisante et déplacée, par manque d’intelligence, de
savoir-vivre et de scrupules.
C’est le
journal Le Parisien du 18 mai dernier qui nous l’apprend : l’ex-ministre
de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie numérique n’était pas à Bercy
pour transmettre le flambeau à son successeur, Arnaud Montebourg, en dépit,
nous dit-on, d’un appel de François Fillon pour lui demander de satisfaire à
cet usage républicain. Contrairement à sa promesse d'entraîner
une équipe de majorettes en cas d’élection de François Hollande, il serait depuis
parti dans le privé faire du « conseil en stratégie d’entreprise ».
Les majorettes l’ont échappé belle ! Celui qui, si la trahison avait
été une discipline olympique, en aurait été le champion incontesté, a hissé
la trahison au rang de 10ème
art (je ne savais même
pas qu’il y en avait déjà 9) ne nous aura donc rien épargné en terme
d’ignominie. Si je devais choisir ce que je reproche le plus à Sarkozy dans la
liste infinie de mes griefs, ce serait peut-être ça : avoir nommé
Nadine Morano secrétaire d’Etat accueilli
à bras ouverts un traître immonde, un c…… type qui s’est constamment
comporté de façon déplaisante et déplacée,
par manque d’intelligence, de savoir-vivre et de scrupules, et l’avoir nommé au
gouvernement de la République. Pour qu’il nous fasse ensuite un gros bras
d’honneur, ayant épuisé toutes les ressources du doigt du même genre, dont
il a usé sans état d’âme, comme peuvent en témoigner les journalistes à qui
il l’a adressé lors des universités de l’UMP en septembre 2009.
Et dire que ce c…… type qui s’est constamment comporté de façon
déplaisante et déplacée, par manque
d’intelligence, de savoir-vivre et de scrupules, aura le droit au titre de « Monsieur le
ministre » jusqu’à la fin de ses jours !