Voici ce que j’écrivais en décembre 2011 à propos de Pierre Moscovici :

« (…) il s’exprime dans le journal L’Expansion de janvier 2012, pour nous expliquer que  « La gauche la joue orthodoxe » c'est-à-dire en fait qu’elle la joue comme la droite, et l’assume sans complexe. Moscovici (...), déclare que "si nous remportons l'élection présidentielle, nous respecterons coûte que coûte les engagements pris par la France de ramener le déficit public sous la barre de 3 % à l'horizon 2013."  Coûte que coûte, il nous dit le bougre. Il n’est pas avare de la souffrance du bon peuple de France. Connaît-il seulement l’origine de ce chiffre de 3 % ? Son incompétence devient proprement criminelle lorsqu’elle l’amène à affirmer que  "La monnaie unique et sa gestion par une banque centrale indépendante sont déjà une forme de perte de souveraineté. Il faut l'accepter et sans doute aller plus loin dans le fédéralisme, notamment budgétaire" »

Il ne nous reste plus qu'à prier ...