La première c’est que les pseudos socialistes à la DSK, comme Besson, Valls et consorts me dégoutent plus que les conservateurs réactionnaires affirmés comme Copé ou Hortefeux (mais pas que Morano ou Lefebvre, faut pas déconner quand même) qui ont au moins le mérite d’afficher clairement la couleur. On sait à quoi s’en tenir et tout ce qui peut nous arriver c’est…une bonne surprise ! La deuxième, c’est que la vie personnelle de DSK, pour ce qu’on l’en sait,  n’est pas des plus ragoutante et qu’un homme qui écoute plus sa queue que son cerveau ne mérite vraiment pas notre confiance. Et que l’on ne vienne pas me dire que cela ne nous regarde pas ou qu’ils sont tous comme ça. Ça nous regarde complètement de savoir si l’homme (ou la femme) qui prétend diriger le pays a un minimum de moralité dans sa vie personnelle. Car si ce n’est pas le cas, il n’y aucune raison qu’il en ait dans sa vie publique, bien au contraire. Quant au fait que Mitterrand se soit reproduit dans le dos de son épouse officielle ou que Giscard et Chirac aient été de gros queutards, cela ne fait pas jurisprudence et ne doit pas être considéré comme la norme. Cela prouve simplement que nous devrions être plus exigeants envers nos dirigeants. DSK ne mérite pas d’avoir le droit de se présenter à nos suffrages. Tout ce qu’il mérite, c’est d’être condamné jugé pour haute trahison en tant que complice de l’abandon de la France et de sa souveraineté entre les mains de l’oligarchie apatride qui nous gouverne et dont il fait partie.