Dominique Strauss-Kahn, taliban de la mondialisation, salaud de la pire espèce
Par RST le vendredi, 26 novembre 2010, 18:15 - Politique - Lien permanent
Dominique Strauss-Kahn vient d’en
prendre plein la gueule pour son grade chez mes amis bloggeurs Yann
et Laurent
Pinsolle , et c’est très largement mérité pour toutes les raisons qu’ils
ont très justement détaillées. Je vais juste en remettre une couche en faisant
remarquer deux choses.
La première c’est que les pseudos
socialistes à la DSK, comme Besson, Valls et consorts me dégoutent plus que les
conservateurs réactionnaires affirmés comme Copé ou Hortefeux (mais pas que
Morano ou Lefebvre, faut pas déconner quand même) qui ont au moins le mérite
d’afficher clairement la couleur. On sait à quoi s’en tenir et tout ce qui peut
nous arriver c’est…une bonne surprise ! La deuxième, c’est que la vie
personnelle de DSK, pour ce qu’on l’en sait,
n’est pas des plus ragoutante et qu’un homme qui écoute plus sa queue
que son cerveau ne mérite vraiment pas notre confiance. Et que l’on ne vienne
pas me dire que cela ne nous regarde pas ou qu’ils sont tous comme ça. Ça nous
regarde complètement de savoir si l’homme (ou la femme) qui prétend diriger le
pays a un minimum de moralité dans sa vie personnelle. Car si ce n’est pas le
cas, il n’y aucune raison qu’il en ait dans sa vie publique, bien au contraire.
Quant au fait que Mitterrand se soit reproduit dans le dos de son épouse
officielle ou que Giscard et Chirac aient été de gros queutards, cela ne fait pas
jurisprudence et ne doit pas être considéré comme la norme. Cela prouve
simplement que nous devrions être plus exigeants envers nos dirigeants. DSK ne
mérite pas d’avoir le droit de se présenter à nos suffrages. Tout ce qu’il
mérite, c’est d’être condamné jugé pour haute trahison en tant que
complice de l’abandon de la France et de sa souveraineté entre les mains de
l’oligarchie apatride qui nous gouverne et dont il fait partie.